jeudi 8 novembre 2012

Houston, c'est reparti!

Hé oui, me re-voilà à Houston, pour 15 jours cette fois. Maintenant, je connais et j'avais peur de ne plus avoir grand chose à raconter, mais même sur une journée aussi passionnante qu'un trajet en avion, il s'est passé des bricoles.

 
D'abord, le salon Air France dont j'ai pu profiter était différent de celui de la dernière fois: dans celui là, on peut profiter de soins du visage gratuits (peut-être que dans l'autre aussi, mais je n'ai pas trouvé). J'avais pris un peu de marge car j'avais peur des embouteillages, donc j'étais bien en avance, ce qui m'a permis de tester. Le résultat n'est pas flagrant (après 6 heures de sommeil, soin ou pas j'ai une sale tête...), mais c'est quand même bien agréable...

 En cliquant sur la photo (pour zoomer), on constatera que les autres
personnes à profiter des soins sont des hommes
(et que je me suis plantée en m'inscrivant. Mais bon...)

Je me suis ensuite ruée sur le dernier Elle (franchement, qui a envie de lire le Monde Diplomatique à 8 heures du matin??). Cette saine lecture m'a permis de constater avec satisfaction et ricanements que ma jolie petite cape à 0 € faite de mes blanches mains a exactement le même col que celle d'american apparel à 170€ (et aussi un ourelet à refaire, certes... les joies du fait maison...)

Le trajet en avion s'est bien passé, sans évenement mémorable. Je déteste toujours autant les turbulances, surtout quand elles renversent la moitié de ma tasse de café. J'ai travaillé un peu, et j'ai vu un film très sympa: Du vent dans mes mollets.  Le service en buisness est vraiment parfait: on m'a proposé à la place du champagne, (je cite) "un jus de fruits rouges aux anti-oxydants, c'est très bon vous verrez". Je doute de ma capacité à voyager à nouveau avec la plèbe en classe éco...

A l'arrivée à Houston, j'étais au taquet pour passer toutes les formalités au plus vite: j'étais la première à sortir de l'avion et j'ai doublé dans les couloirs tout un avion d'Allemands arrivé en même temps que le notre. Cela ne m'a pas empéchée de faire la queue 3/4 d'heure à l'immigration. J'ai ensuite passé la douane en me concentrant pour ne pas avoir l'air trop louche, ce qui a plutôt bien marché puisque cette fois, je ne suis pas passée par les contrôles supplémentaire. Je suis arrivée comme une fleur à la location de voiture, pleine d'espoir que cette fois ça se passe bien, pour finalement m'entendre dire qu'il y avait des soucis de retour de voiture (la faute aux élections paraît-il) et que j'allais peut être attendre une heure à une heure et demie (*). Finalement, je n'ai attendu que 20 minutes, et je dispose d'une voiture "compacte" munie d'un GPS. On n'a clairement pas le même concept de "compact" en France et aux USA, je me demande même si les voitures 3 portes existent ici ou pas. J'ai démarré sans problème, j'ai allumé la radio sur la station "country legends", et j'ai pu tracer ma route dans le soleil couchant.

J'ai posé mes affaires à l'hôtel, constaté que je n'avais pas assez les yeux en face des trous pour bosser (à l'heure française, normalement, je dors...), et je suis allée m'acheter à manger, faire le plein de tisane et de pain pour le petit déj au temple bobo découvert la dernière fois. 

La suite demain (ou pas), parce que là, il fait sommeil... 

(*) Notons que je n'ai pas souvenir avoir loué une seule fois une voiture pour le travail sans qu'il n'y ait un problème...

4 commentaires:

  1. Et bien, je suis ravie de retrouver la suite des tes aventures houstoniennes ! J'ai adoré découvrir cette ville grâce à tes premiers posts, je vais suivre de près la suite. :)

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  2. Merci d'avoir pris le temps de laisser un commentaire. Houston n'est pas une ville très intéressante en soi (pour le tourisme, j'imagine qu'il vaut mieux aller ailleurs)... Mais c'est très différent de la France et ça me permet de découvrir la vie quotidienne américaine.

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  3. je suis contente de voir que tu as eu une arrivée plus classique à Houston. Tu commences à apprivoiser les américains.

    Mille bisous

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  4. Hé hé, des annonymes laissent des commentaires, mais je les reconnais grâce à leurs mille bisous...

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